E. Pomme Hemingway
ϟ Débarquement le : 03/09/2011 ϟ Claques envoyées : 14 | Sujet: (f) WESTWICK » cover me with your wings. Sam 3 Sep - 18:01 | |
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charles au choix de basire INTRODUCING MEBonjour, je me présente. Je m’appelle charles au choix de basire et j’ai vingt-quatre ans. Je suis né un quinze juillet à paris, france, depuis que je suis jeune je vie dans une famille riche, mais qu’importe mon argent je suis toujours là-même personne. Au fait, je suis divorcé et ça depuis un petit bout de temps maintenant, mais heureusement je ne m’en plains pas. Depuis que j’ai fini le lycée, depuis 6 ans, comme étudiant, en droit et qu'elle ne changerait pour rien au monde ce qu'elle faisait. Je vais par la suite vous confier un secret, depuis je ne sais combien de temps maintenant les gens me stoppent souvent dans la rue pour me faire remarquer que j’ai une grande ressemblance avec ed westick ce qui me paraît bizarre, mais bon ça fait toujours plaisir. Pour finir je fais partie des groupe. | IT'S MY LIFEIci tu feras un petit résumé de l'histoire de ton personnage, c'est pas vraiment obligatoire si vous préférez laisser libre cette partie c'est votre choix, si vous préférez juste donner des indications c'est votre choix aussi.. Pour les scénarios c'est vous les maîtres du jeu alors bonne chance. Ici tu feras un petit résumé de l'histoire de ton personnage, c'est pas vraiment obligatoire si vous préférez laisser libre cette partie c'est votre choix, si vous préférez juste donner des indications c'est votre choix aussi.. Pour les scénarios c'est vous les maîtres du jeu alors bonne chance. Ici tu feras un petit résumé de l'histoire de ton personnage, c'est pas vraiment obligatoire si vous préférez laisser libre cette partie c'est votre choix, si vous préférez juste donner des indications c'est votre choix aussi.. Pour les scénarios c'est vous les maîtres du jeu alors bonne chance. |
elizabeth pomme hermingway | | | YOU NEVER KNOW WHAT YOU GOT 'TIL IT'S GONE. Ҩ Sérieusement, tu n'as rien trouvé de mieux Hermingway ? Tu me déçois. Aïe. Hermingway plus absence de tout petit terme affectif, ça sentait le roussi. Sentant les larmes lui monter aux yeux, Pomme se mit à respirer d'une façon un peu plus irrégulière, et renifla le moins possible, tentant d'être forte. Depuis un an, Charles avait enlevé son cœur, et ne le lui avait jamais plus tendu. Après tout, il n'était qu'un petit bourgeois français, avec qui ses parents l'avaient fiancée d'office. Un petit prétentieux, bien trop sûr de lui, narquois, et totalement imbu de sa personne. Une personne qui ressemblait bien trop à l'ancienne Pomme. À l'ancienne Pomme, qui dépensait le budget d'un mois entier en une semaine de shopping, qui ne se souciait que de sa petite personne, et qui laissait son cœur fermé à l'amour. Jusqu'à ce qu'elle trouve, dans tous ces gestes, dans ces cris, ces pics lancés, la preuve qu'elle était faite pour ça. Qu'elle était faite pour aimer, pour être heureuse auprès d'un homme, comme une femme comme les autres. Et c'est ainsi qu'elle devint sa femme. Madame de Basire. Dieu merci, la jeune femme était parfaitement bilingue, et s'en sortait de ce côté-ci. Mais le pire pour elle sembla arriver, lorsqu'elle se rendit compte que son absence la rongeait. Que l'odeur de son parfum éveillait ses sens, que des frissons apparaissaient sur sa peau lorsqu'il la caressait, qu'elle se sentait une femme nouvelle en sa présence. Merde, Pommy était tombée amoureuse, d'un enfoiré de première. D'un petit con, qui n'a jamais su profiter de la chance qu'il avait. Il lui en fallait toujours plus, et même pendant la grossesse de la brunette, monsieur continuait d'aller avoir ailleurs, juste pour s'amuser, et parce que l'amour lui faisait autant peur qu'à elle. Et lors de la naissance de la petite Louhan, les choses changèrent du tout au tout. Monsieur prit conscience qu'il était à présent père de famille, qu'il devait arrêter de tout foirer de la sorte, et se calma. Il devint plus présent, et tout roulait parfaitement, jusqu'à ce que le bruit de ses infidélités parvienne aux oreilles de Pomme. Cette dernière vit rouge, et envoya tout balader. Sous le coup de la colère, elle embrassa Maël, le petit-ami de sa propre sœur. Rien de bien saint dans tout ça, mais c'était ainsi qu'elle avait agi, impulsivement. Ce qui refermait le piège sur elle. Voyant son mari prendre le chemin de la sortie, la jeune femme lança sa dernière rame à l'eau. Et toi, c'est comme ça que tu me prouvais ton amour ? En le disant à d'autres ? Arrête de me prendre pour une idiote de Basire. Je ne viens pas de te perdre, je l'avais déjà fait il y a bien longtemps. Sur ces bonnes paroles, Charles s'arrêta, tendit l'oreille, mais ne se retourna même pas pour lui adresser un regard. Ils étaient brisés, tous les deux, et leur divorce fut prononcé quelques semaines plus tard. | | | |
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