DOSSIER N° 380



Bonjour, je me présente. Je m’appelle toscane léonie ainsworth et j’ai 23 ans. Je suis née le 2 mars 1988 à orange county, CA, USA, depuis que je suis jeune je vie dans une famille normale, mais qu’importe mon argent je suis toujours là-même personne. Au fait, je suis célibataire et ça depuis un petit bout de temps maintenant, mais heureusement je ne m’en plains pas. Depuis que j’ai fini le lycée, depuis quatre ans, comme étudiante en design et mode, en option mode et qu'elle ne changerait pour rien au monde ce qu'elle faisait. Je vais par la suite vous confier un secret, depuis je ne sais combien de temps maintenant les gens me stoppent souvent dans la rue pour me faire remarquer que j’ai une grande ressemblance avec Troian bellisario ce qui me paraît bizarre, mais bon ça fait toujours plaisir. Pour finir je fais partie des fear the commitment.

toscane léonie ainsworth

TUMBLR

BOWERBIRDS


Moi c'est Mélina oui je sais c'est peu répandu et c'est joli *je me tais*. Sinon j'ai 20 ans et j'ai fini mes études donc là je suis en mode assise dans le canap toute la journée . Sinon je suis hyper fan de TVD plus que 12 jours avant avant le grand jour. Sinon j'aime aussi the lying game, TNOCLK, dr house, pll, dr who et pleins d'autres que je ne citerai pas . Que dire de plus j'aime les smileys vous avez du le remarquer ça

poon

Je me laissais glisser avec une extrême lenteur contre la porte de ma chambre. Des perles salées vinrent assombrir le bleu de mon jean. J’essayais de reprendre une respiration normale, mais tout mon corps était sous l’emprise de spasmes. Chaque appel d’air était une souffrance. Je ne parvenais plus à réfléchir correctement, mes mains tremblaient comme jamais. J’ignorais ce qu’il m’arrivait. Un vase se brisa sur le sol, les cris de ma mère qui ricochaient sur chaque mur de la demeure. Mon père n’arrangeait pas les choses, une autre porte claqua faisant trembler la maison toute entière. Ce qui n’arrangeait pas mes convulsions. Des pas précipités se firent entendre dans le couloir, de petits coups contre ma porte. Le silence brisé par mes hoquets incontrôlables, d’autres coups apparurent à nouveau sur ce morceau de bois de vernis. Je ne répondis toujours pas, préférant ramener mes genoux contre ma poitrine. Léo ouvre la porte s’il te plait. La voix de mon frère était étrangement douce et calme, comme faisait-il pour être aussi serein. Je ne parvenais pas moi, j’étais en colère ; et en même triste. Je voyais le monde en noir et plus en blanc. Ne me fais pas ce coup là, Léo. Je reniflai bruyamment mais refusant toujours d’ouvrir cette fichue porte. Tout partait en sucette dans ma vie, je venais de me faire larguer par mon petit ami. Mes parents m’annoncent qu’ils divorcent et dans quelques temps mon frère s’en ira pour la faculté. Je serai seule face à mes démons et ce que je redoutais le plus. La vie est une chienne de vie qui ne valait pas d’être vécu à 100%. Laisse moi tranquille Jaeden. Bien évidemment je savais qu’il ne me laisserait pas tranquille, c’est mon grand frère. Mon protecteur, mon ami, mon confident, mon modèle mon tout. Il me comprenait mieux que personne. Il s’appuya à son tour contre la porte soupirant, un rire plus que nerveux s’échappa de sa bouche. Qui l’aurait cru qu’ils continueraient à jouer cette mascarade aussi longtemps. J’avais toujours vu mes parents heureux, amoureux mais la vérité était que tout ceci n’était qu’une illusion. Je n’avais pas vu cette supercherie aussi fausse soit elle. Comment pouvait-on mentir à la chair de sa chair ? Il fallait être fou pour réaliser une chose pareille. Moi…. J’y ai cru comme une idiote, à mon âge je devais savoir que les contes de fées ce n’étaient que du vent. Je t’arrête tout de suite, tu n’es pas une idiote. Les parents ont pensé te protéger comme ça. Tu appelles ça comment ? Je suis le dindon de la farce. Rien ne va plus dans ma vie. Je me décollai de la porte tournant ainsi la clé. J’entrouvris cette dernière me jetant ainsi dans les bras de Jaeden.

J’étais accoudée au comptoir du bar regardant avec un grand intérêt le fond de mon verre. Jaeden avait disparu de la surface –enfin celle de la piste de danse- il devait surement être dans un coin à draguer une fille. Au moins lui s’amuser moi je paniquais depuis une semaine, y avait de quoi je venais d’arriver à Naderra. J’avais perdu mes repères. Je soupirai avant de boire d’une traite mon verre, je levai celui-ci vide vers le barman qui prit du temps à me resservir. Le verre pris une autre teinte à cause du liquide. Un jeune homme s’assit près de moi, je ne prêtai pas une grande attention. Ma seule compagnie était mon verre. Bonsoir moi c’est Aiden. Je levai mes yeux vers lui détaillant rapidement le jeune homme. Mon regard se dirigea à nouveau vers mon verre, mouillant mes lèvres avec le liquide ambré. Moi c’est vas te faire mettre. Je n’entendis aucun bruit de chaise, génial j’étais tombée sur un dragueur. C’était bien ma veine ce soir. Joli prénom peu répandu… Je lui montrai ma paume de main, je plongeai mes yeux dans les siens. Ouvres grand tes oreilles, tu es mignon mais si tu pouvais aller faire le beau ailleurs ça m’arrangerais beaucoup. Tu es tombé sur la mauvaise fille. Je bu le reste de mon whisky avant de me lever. Je me faufilai entre les danseurs, et commença à sentir l’air frais sur mes joues brulantes. Hey attends ! Je fis volte-face découvrant à nouveau le jeune homme. Tu es vraiment débile ou tu es vraiment débile ? Il éclata de rire, il rappelait drôlement quelqu’un : mon frère. Jaeden ne m’avait pas dit que tu étais drôle. Je me mordis la lèvre me rappelant que Jaeden m’avait averti de la venue de son meilleur ami. Il m’avait même montré une photo de ce dernier. Oui il y a beaucoup de chose qu’il ne dit pas. Tu ne devrais pas être avec lui d’ailleurs. Je plaide coupable aussi j’aurai du commencer par dire qui j’étais. Entre tenir la chandelle et rester en bonne compagnie le choix est rapide. Je hochai simplement la tête avec un sourire gêné collé sur le visage. Vous voila vous deux ! Venez il y a une fête sur la plage. Aiden me lança un regard discret avant de me prendre par la main. Quoi que je dirais ne servirai à rien, je ne le connaissais pas encore mais je le faisais déjà confiance.

Ma tête était posée sur le torse d’Aiden, je tenais en main mon carnet à dessin. Je dois bien l’avouer que je ne savais pas quoi dessiner. Mon patron m’avait ordonné de dessiner vingt robes, du style contemporain. Je séchais complètement sur ce sujet. Je suivais toujours mes envies, ce qui faisait mes créations uniques en leurs genres. Je poussai un énième soupir aucune inspiration ne venait, je commençais à être tendue comme un string à force. Pour ne rien arranger voila qu'Aiden me vole mon cahier. Ca à l'air intéressant tout ça!
en construction .