DOSSIER N° 1417



Bonjour, je me présente. Je m’appelle Aaron Harry Brightside et j’ai 24 ans ans. Je suis né(e) le 8 avril 1987 à Londres, depuis que je suis jeune je vie dans une famille très aisée, mais qu’importe mon argent je suis toujours là-même personne. Au fait, je suis divorcé et ça depuis un petit bout de temps maintenant, mais heureusement je ne m’en plains pas. Depuis que j’ai fini le lycée, depuis 5 ans, je suis mannequin et avocat stagiaire, après avoir fait des études de droit et je ne changerais pour rien au monde ce que je fais. Je vais par la suite vous confier un secret, depuis je ne sais combien de temps maintenant les gens me stoppent souvent dans la rue pour me faire remarquer que j’ai une grande ressemblance avec Chace Crawford ce qui me paraît bizarre, mais bon ça fait toujours plaisir. Pour finir je fais partie des just divorced.

Aaron Harry Brightside

TUMBLR

FAR AWAY


Hum c'est toujours difficile de se présenter, on va faire simple - Ouais je sais je suis pas douée pour le simple mais je vais essayer ^^ - je m'appelle Océane, j'ai 18 ans, demain je rentre en première année à la fac de science à Nice, ha bah en fait j'ai réussi à faire simple. Sinon à part les banalités, ça va faire plusieurs années que je tourne sur les forums et j'adore vraiment l'ambiance qu'il y a sur ce genre de sites et j'espère bien m'intégrer avec vous, bien sûr faut pas avoir peur des filles qui ont un peu un grain dans la caboche quoi, mais je pense pas que ça pose problème en général ^^ Vraiment bravo pour ce forum, il est très bien réussi, j'aime vraiment beaucoup, c'est du bon boulot

fanpop

raconte l'histoire de ta vie

« Aaron va te préparer et habille toi bien, mets pas une de tes tenues débraillées que tu mets en sortant avec tes copains, je veux dire cravate et veste correcte. » « Excuse moi maman, j'avais mal compris, je savais pas qu'on mangeait chez le président je pensais juste qu'on allait chez les Roseburry. » « Aaron ce sont nos amis, au moins leur montrer un peu de respect, surtout que ça pourrait bien finir par être ta belle famille. » Le jeune homme manqua de s'étouffer en entendant ces mots, c'était la deuxième fois qu'il allait se rendre chez ces gens et sa mère lui parlait déjà de se marier avec leur fille. Aaron n'avait jamais vraiment eu le choix dans sa vie, ses parents décidaient de tout pour lui, que ce soit les sports qu'il devait pratiquer, les études qu'il devait allant même jusqu'à essayer de lui imposer les fréquentations qu'il devait avoir. Une fois sa toux calmée un doux rire cristallin s'échappa de sa bouche, il pensait que c'était une réflexion en l'air et il n'en fit pas vraiment cas, il pensait simplement que ses parents voulaient une nouvelle fois le faire enrager mais ce n'était pas le cas, il n'y avait rien de plus sérieux dans leur idée. Après tout, quoi de mieux pour une famille riche que de faire un mariage avec une autre famille avec des gros moyens. « Maman faut que tu arrêtes la picole va, tu crois vraiment que je vais me marier avec leur fille alors que je l'ai vu qu'une fois. » « Ne parle pas comme ça à ta mère, et ensuite ne t'inquiète pas tu vas avoir le temps de la voir, surtout quand vous serez mariés. Maintenant va t'habiller, fin de la discussion ! » C'est à ce moment là qu'il comprit que c'était loin d'être une blague et qu'il avait plutôt intérêt à se faire à cette idée et à apprécier cette fille. Le problème c'est qu'ils étaient deux dans cette histoire, deux à être obligés par leur parents à s'unir alors qu'aucun sentiment n'étaient présents.On n'entendit pas le jeune Brightside de tout le dîner, son esprit cogitait trop pour ça, il n'arrivait pas à enlever cette idée saugrenue de mariage de sa tête. Il ne cessa de regarder celle qui allait apparemment devenir sa future femme, Apolline. Il voyait différentes scènes dans son esprit, tout d'abord le mariage ; il serait sûrement gigantesque, tout le monde en entendrait parler – ça c'est sûr ses parents veilleraient bien à ce qu'il ne passe pas inaperçu. Il s'imagina aussi le moment où leurs parents feraient pression sur eux pour avoir une descendance, alors qu'il s'enfonçait un peu plus dans son esprit quelqu'un vint l'en faire sortir en posant sa main sur son épaule. En levant la tête son regard croisa celui d'Apolline qui lui souriait, pour l'inciter à sortir de ses rêves. « Qu'est ce que tu me veux ? » une certaine animosité se sentait dans sa voix mais qui n'était pas vraiment voulue, ce n'était que l'accumulation de toutes ces images qu'il s'imaginait qui l'avait mis dans une colère noire qui allait se déverser sur Apolline si il ne partait pas rapidement, la jeune femme se tenait devant lui, muette comme si la surprise de sa réaction l'empêchait de répondre. « Ouais bin quand tu auras retrouvé l'usage de la parole tu viendras me voir, en attendant lâche moi. » cracha-t-il en attrapant ses clefs de voiture avant de partir sous le regard médusé de la belle et celui énervé de ses parents.

Quelques jours étaient passés depuis cette histoire, la colère en lui était peu à peu redescendue et il se dit qu'il valait mieux qu'il rétablisse les choses. C'est pour cette raison qu'il décida d'aller voir sa promise, il s'était retrouvé en bas de chez elle, attendant qu'elle sorte pour pouvoir lui parler – il ne voulait pas que ses parents soient au courant de cette visite, des conclusions auraient pu être tirées trop vite.
« Apolline, je peux te parler s'il te plait. » apparemment la jeune femme n'avait pas vraiment digéré la façon dont il lui avait parlé et elle se rappelait de ses mots étant donné que sa seule réponse fut de lui montrer sa bouche et de faire non de la tête comme pour lui montrer qu'elle était toujours muette donc elle ne pourrait pas parler avec lui avant de se tourner le dos et de s'en aller. « Bon j'étais venu pour m'excuser mais vu comment tu le prends je pense que je devrais attendre notre mariage pour pouvoir m'excuser. » Sourire aux lèvres il se retourna prêt à partir comme si les mots qu'il venait de prononcer n'avait aucune importance. Pourtant ils en avaient énormément, que ce soit pour l'un comme pour l'autre, alors qu'ils s'éloignaient l'un de l'autre, il entendit la jeune femme faire demi-tour. « Hé Aaron, tu viens de dire quoi espèce d'idiot ? » « Rien de plus que la vérité, mais je vois que ta gentille maman ne t'en a pas encore parlé... » Elle resta silencieuse, le regardant, attendant qu'il lui donne plus d'informations sur ce qu'il insinuait. « Oula, bin dis donc tu as pas inventé la poudre toi non ? Faut vraiment que je te fasse un dessin alors... Tes parents et les miens ont décidé que nos familles devaient s'unir et ça grâce à un mariage... et au cas où tu aurais pas encore compris, je parle de notre mariage à toi et moi bien sûr. » Oui il n'était pas vraiment du genre tendre, si il pouvait faire des sarcasmes et rabaisser les gens il ne s'en privait pas, mais il ne connaissait pas le jeune femme en face de lui, il ne savait pas encore qu'il avait trouvé quelqu'un à sa hauteur qui ne se laisserait pas faire. « D'abord arrête de me parler comme ça, je suis pas une de ces poufs écervelées que tu te tapes à longueurs de temps et ensuite je te crois pas, ma mère me ferait jamais ça, elle essayerait au moins de trouver quelqu'un de mieux que toi, quelqu'un qui sait aligné deux mots sans se tromper ou sans se moquer des autres. » il haussa les épaules et dans un grand sourire il se contenta d'ajouter, avec une simplicité déconcertante, comme si les mots de la jeune femme ne l'avait pas atteint. « A croire que ta mère te connaît bien et qu'elle sait que malgré ce que tu dis au fond c'est les mecs comme moi qui te font craquer. Ne le nie pas, tu te rendras bien compte un jour que tu es folle de moi. » Il lui fit un clin d'oeil avant de partir jusqu'à sa voiture sans même lui laisser le temps de répondre, ce qui eut le don d'exaspérer encore plus la jeune femme.

Cela faisait maintenant quelques semaines que les noces avaient été célébrées, tout avait été magnifique, un mariage dont on se souvient longtemps, tout était parfait en apparence, tout le monde avait un énorme sourire aux lèvres, la musique résonnait dans le jardin où se célébrait la cérémonie mais c'est souvent ce genre de cérémonie que le luxe cache bien des choses. De l'extérieur qui aurait pu deviner que jusqu'à la dernière minute les deux jeunes mariés se battaient pour que le mariage soit annulé mais il n'en fut rien, lorsque les familles Roseburry et Brightside voulaient quelque chose il n'y a rien qui pouvait les arrêter, pas même leur enfant. Les mois qui suivirent ne furent pas de tout repos, on aurait pu croire que le fait de vivre ensemble aurait fait effet sur eux, que les engueulades auraient cessé mais non bien au contraire. Apolline passait son temps à lui rappeler à quel point elle pouvait le détester et même si il ne manquait pas de se venger par la suite il supportait de moins en moins ce genre d'échange. Cela l'aurait sûrement tuer d'avouer ce genre de chose mais il aimait le fait d'être marié avec elle, au fond il est tombé amoureux d'elle sans vraiment s'en rendre compte ce qui fit que les remarques incessantes de sa femme furent bien plus dures à supporter que ce qu'il le faisait croire. « C'est bon Apolline on a compris, tu me détestes je suis l'être le plus horrible qu'il t'est été donné de rencontrer et tu me méprises au plus au point, mais tu veux y faire quoi ? Tu veux vraiment t'opposer à nos parents ? Bin sans moi, je préfère encore être marié avec toi ! Alors maintenant arrêtes de râler et viens te coucher. » Chaque soir il y avait ce genre d'échanges entre les deux membres du couple, chaque matin, chacun se levait et partait de son côté sans faire attention à l'autre, on peut dire que pour eux la vie maritale n'était pas vraiment la solution. « J'aimerais tellement que tu sois restés en Angleterre, vous aviez vraiment besoin de déménager ? » La famille Brightside avait décidé de quitter Londres il y plusieurs années pour venir vivre aux Etats-Unis à cause de problèmes dans la société du père d'Aaron. C'est la famille Roseburry qui les a tout de suite intégré dans la haute société voyant en eux des associés et des alliés de taille. « Et crois pas Aaron, tu prends tes affaires et tu dors sur le canapé. » De toutes façons les choses avaient toujours été comme ça, malgré les différentes tentatives du jeune homme pour réussir à se glisser dans le lit maritale cela n'avait jamais changé, sa femme restait inflexible sur son point. Pour elle tout n'était que comédie, les seuls échanges qu'il y avait entre eux n'étaient qu'un moyen de faire en sorte que leurs parents les laissent tranquilles. Aaron ne l'aurait sûrement jamais avouer mais il ne demandait rien de plus qu'un peu de considération de sa part, qu'elle s'intéresse à lui sans le traiter d'idiot incompétent si ce n'est plus pour une fois.

« Tiens signe ça et t'es libre. » cracha-t-il en lançant le dossier sur la table basse tandis qu'elle faisait ses ongles. « Et tu peux me dire ce que c'est ? » sa réponse avait été dédaigneuse, presque méchante mais on sentait tout de même une pointe de curiosité et d'espoir au fond de sa voix. « Les papiers du divorce, si tu acceptes de dire que tu m'as trompé j'envoie ces papiers à l'avocat et notre ''colocation'' sera terminée. » Bien sûr l'idée de passer pour une femme volage et adultérine auprès de ses parents ne l'emballait pas outre mesure mais il avait posé ses conditions, il resterait marié avec elle si elle n'acceptait pas cela. Il craignait beaucoup plus ses parents que sa femme, si cela ne s'était arrêté que là il serait resté marié avec elle, mais le fait est que ce n'est pas la crainte d'elle qui le poussa à faire cette demande de divorce. Au fond il ressentait beaucoup de choses pour elle et ces journées passées à ses côtés étaient beaucoup trop dures à supporter sachant qu'elle ne ressentait pas du tout la même chose pour lui. Il la regarda signer les papiers se rendant compte que leur mariage était bel et bien fini, même si il était totalement basé sur un mensonge il avait cru en ce mariage, cru en ce qu'il ressentait et pourtant aujourd'hui il devait la regarder partir, sans rien dire.

« Jamie on peut pas recommencer ça » il venait à peine de finir de boutonner le bouton de son jean alors qu'il prononçait cette phrase, il se demandait encore comment il avait pu en arriver là, comment pouvait-il coucher avec la copine de son meilleur ami ? Leur solitude commune avait fait qu'ils s'étaient tournés l'un vers l'autre essayant à tout prix de combler ce vide qu'ils ressentaient mais ce n'était pas une excuse, surtout quand on sait que son meilleur ami fut la seule personne présente auprès de lui lorsqu'il a mis fin à son mariage, la seule personne a qui il avait dit la vérité sur ce mariage, la seule personne a qui il avait confié à quel point il aimait en fait Apolline. « Ecoute Aaron, tu veux vraiment qu'on ait encore une énième fois cette conversation sur le fait qu'on le trahi ? Comme d'habitude tu vas avoir des regrets jusqu'à ce que je vienne, t'embrasse encore une fois pour te faire taire et qu'on refasse l'amour. » Cette femme savait parfaitement comment lui faire oublier ce genre de choses, l'embrassant passionnément elle se contenta de rajouter «  Donc si on laissait tomber la partie conversation et qu'on passait directement au reste. » Bien qu'il ait toutes les filles qu'il veut depuis son divorce il s'est retrouvé à coucher avec la fiancée de son meilleur ami parti à la guerre. Aaron a beau faire comme si rien ne le touchait ce divorce lui a fait beaucoup de mal et il est apparemment prêt à tout pour l'oublier, même à trahir son ami.