DOSSIER N° 2400



Bonjour, je me présente. Je m’appelle Iliade Elijah Samuels et j’ai vingt-quatre ans. Je suis né(e) le dix octobre à Dublin, depuis que je suis jeune je vie dans une famille normale, mais qu’importe mon argent je suis toujours là-même personne. Au fait, je suis divorcée et ça depuis un petit bout de temps maintenant, mais heureusement je ne m’en plains pas. Depuis que j’ai fini le lycée, depuis quatre ans , comme concepteur de jeux vidéos et qu'elle ne changerait pour rien au monde ce qu'elle faisait. Je vais par la suite vous confier un secret, depuis je ne sais combien de temps maintenant les gens me stoppent souvent dans la rue pour me faire remarquer que j’ai une grande ressemblance avec Andrew Garfield ce qui me paraît bizarre, mais bon ça fait toujours plaisir. Pour finir je fais partie des can't live without you.

Iliade Elijah Samuels

PSEUDO


Parle nous de toi, on veut tout savoir jusqu'au plus petit détail. Parle nous de toi, on veut tout savoir jusqu'au plus petit détail. Parle nous de toi, on veut tout savoir jusqu'au plus petit détail. Parle nous de toi, on veut tout savoir jusqu'au plus petit détail. Parle nous de toi, on veut tout savoir jusqu'au plus petit détail. Parle nous de toi, on veut tout savoir jusqu'au plus petit détail. Parle nous de toi, on veut tout savoir jusqu'au plus petit détail.

"Je ne peux pas... Je ne suis pas prête.Je suis désolée"Marise-Ellie Samuels-Holloway ▬ ma mère

J'avais dix jours. Seulement dix petits jours quand ma mère remarqua qu'elle en avait déjà sa claque de moi. Oui, elle ne pouvait plus me supporter, moi et mes pleures, moi et mes cacas puants. Elle pleurait tous les soirs en pensant au sacrifice qu'elle avait fait pour mon père. Lui, il m'aimait. A ce fameux dixième jour, alors que mon père ne s'y attendait pas, ma mère avait filé à l'anglaise. En effet, elle avait profité que papa aille faire quelque courses avec moi pour nous fuir. A son retour, la seule chose qu'il trouva ce fût une lettre. Une lettre écrite de ses doigts fins et délicats. «Mon amour, avant toute chose je tiens à te dire que je ne reviendrais pas. Je t'aime mais je ne peux plus vivre la vie que tu nous a imposé. Je n'étais pas prête à avoir ce bébé, je ne me sens pas sa mère. Je ne dois pas l'être dans le fond. Crois-moi, ça me fait mal de l'écrire, ça me transperce le coeur de devoir avouer que je n'ai aucun instinct maternel. Toi par contre, tu feras un père merveilleux. Je sais que tu sauras veiller sur Iliade Elijah. Il n'a pas besoin de moi mais de toi. Ne te meurtris pas, avance dans ta vie et reste l'homme que j'aime tant. Cet homme beau et tellement fort, mon mari. Mon ex-mari pardon. Oui, nous allons divorcer, je compte contacter mon avocat pour qu'il s'occupe de tout ça. Je ne te demande rien mis-à-part de continuer à être heureux. Je t'aime sans aucun doute pour toujours. Marise. » Mon père pleura ce jour là. Il faillit tout abandonner, partir à sa recherche mais têtue comme elle était c'était peine perdue alors il se rattacha à tout ce qu'il avait : moi. Nous vécurent tous les deux.

Il fit de son mieux, et il continue de le faire d'ailleurs. Mon père est un homme que j'admire. Si je devais prendre un modèle dans ma vie ce serait lui. Il n'a pas lâché prise, il s'est relevé et est devenu bien plus fort encore. C'est lui ma seule famille et le plus important c'est que je le sache. J'ai perdu ma mère. Elle est pour moi l'inconnue qui passe dans n'importe quelle rue de n'importe quel pays. Je ne la connais pas et ne désire pas la connaître puisqu'elle n'a pas chercher à me connaitre. Pire, elle est parti par ma faute. Elle aimait mon père mais elle ne m'aimait pas. Jamais vous ne pourrez comprendre ce que ça fait de savoir ça. Mon père ne me l'a pas dit bien entendu, au début il me faisait croire qu'elle était tombé amoureuse d'un autre homme et que je n'y pouvais rien mais à douze ans, je suis tombé sur la lettre qu'elle lui avait laissé. Je ne l'ai pas dit à mon père. Il continue de croire que je crois à sa petite histoire qui fût créée simplement pour me protéger des mots qu'elle avait couché sur du papier. Des mots froid qui piquent en plein coeur.

"Je t'aime"Iliade Elijah ▬ Moi, l'homme le plus courageux de ce monde.

C'est à l'université que je fis la connaissance de l'une des protagonistes les plus importantes de ma vie. La plus importante en fait. Son nom !? Et bien elle s'appelle Isadora-Moïra, fainéant comme je suis elle est très vite devenue Isa. J'ai tout de suite vu qu'elle était différente de beaucoup d'autres filles, de toutes en fait. Tout comme moi, elle avait un QI supérieur à la moyenne humaine. Nous étions amis, partenaire dans diverses cours mais très vite j'ai remarqué que mon coeur battait plus vite que la moyenne en sa présence. Je ne souhaite même pas expliqué cela grâce à la science, je suis intelligent mais j'aime croire à la beauté de l'amour. Bon, je suis pas le plus courageux des hommes. Encore moins quand mon palpitant crie à tue-tête que je suis amoureux et que je transpire comme un cochon à l'idée de le dire à la personne en question et pourtant, un jour nous étions dans le parc de l'université à réviser nos cours et j'ai relevé la tête. J'ai vu à quel point elle était belle et à quel point il me serait difficile de vivre sans elle. Sans ce sourire auquel je m'étais habituée, cette voix douce et ce regard de chat. « Je t'aime. » Ces deux petits mots m'avaient échappé, je n'avais pas réfléchis et pour une fois mon coeur prenait de l'avance sur mon cerveau. Dans le feu de l'action je me rapprochais d'elle, déposait l'une de mes mains dans sa nuque et collait mes lèvres aux siennes. L'un des meilleurs baiser de toute ma vie.

Finalement, il s'était avéré que cet amour était réciproque. Tant mieux, pour une fois que je pouvais me vanter d'avoir de la chance en amour et de sortir avec une bombe. Et pas n'importe quel bombe ! Une bombe intelligente. Je me sentais pousser des ailes. J'étais fier comme un pape à ses côtés et c'est pour cela que je lui demandais sa main peu de temps après la fin de nos études. J'étais amoureux, je ne pouvais vivre sans elle alors il était évident que je devais le lui demander. Un coup de folie, mais j'y croyais plus que tout. Elle accepta et nous eurent la chance de partager une belle histoire d'amour.