DOSSIER N° 28E1135



Bonjour, je me présente. Je m’appelle Edward Simon et j’ai 30 ans. Je suis né(e) le 6 juillet 1981 à New York, depuis que je suis jeune je vie dans une famille normale, mais qu’importe mon argent je suis toujours là-même personne. Au fait, je suis divorcé et ça depuis un petit bout de temps maintenant, mais heureusement je ne m’en plains pas. Depuis que j’ai fini le lycée, depuis 4 ans, comme médecin, en psychologie et qu'il ne changerait pour rien au monde ce qu'elle faisait. Je vais par la suite vous confier un secret, depuis je ne sais combien de temps maintenant les gens me stoppent souvent dans la rue pour me faire remarquer que j’ai une grande ressemblance avec Bradley Cooper ce qui me paraît bizarre, mais bon ça fait toujours plaisir. Pour finir je fais partie des Just Divorced.

Edward Simon Lockwood

J'aimerais vous parler des 3 ruptures de ma vie. Car la meilleur façon de juger une personne est de passer à la loupe ces relations. Je ne suis pas forcément d'accord avec ça, mais j'ai une envie irrésistible de vous en parler. Je suis un inconditionel des femmes en règle général. J'aime absolument tout chez elles. Leur odeur, la façon dont elles appliquent leur parfum, la façon de se passer la main si délicatement dans les cheveux, cette mou amoureuse avec un léger mordillement de lèvre. Elles me fascinent, elles m'ont toujours fascinées et ce, je l'espère, encore pour longtemps. Il est donc tout naturel pour moi de vous parler de mes relations amoureuses les plus importantes à mes yeux.



Andie Cooper.
Il faut savoir que j'ai toujours vécu entouré de femmes. Elevé sans une marque paternelle, j'étais tout le temps dans les jupes de ma mère. C'était une artiste...Une véritable artiste. Le genre de femme capable de capter l'essence même de la vie pour le mélanger dans la peinture qui composait son tableau. Elle faisait beaucoup de nu. Voila comment j'ai rencontré Andie Cooper. Je devais avoir pas loin de 10 ans. Elle fut ma première histoire. C'est elle qui me donna mes premiers frissons. C'est sans aucun doute elle qui me fit tâcher mes premiers draps. Elle était tellement jolie. Moi même, j'avais l'âme d'un artiste, du moins c'était ce que ma mère voulait me faire croire. Elle me laissait souvent assister à ses portraits...lorsque les femmes étaient, bien évidemment, toute habillées. Mais imaginez vous un peu un garçon de 10 ans, curieux de tout, avide de connaissances et surtout sur lui même et sur le sexe opposé. Il ne me fit pas difficile de zyeuter de temps à autres. La première fois que j'ai croisé le regard de cette femme, j'étais comme abasourdis. Mon corps ne me tenait plus et mon coeur palpitait un peu trop fort dans ma poitrine. C'était donc ça, être amoureux ? Je lui vouais un culte, une obsession indéchiffrable et indescriptible. Il fallait que je me jette à l'eau. Un jour qu'elle se rhabillait, je ne pus m'empêcher d'aller la rejoindre dans sa loge. Il fallait que je le fasse. Que je la vois de plus près. J'ai proposé de la dessiner, mentant que je ne savais pas dessiner les soutien gorge pour qu'elle daigne l'enlever. Ce qu'elle a fait. Je me comportais en réel gentleman avec elle. J'avais beau avoir 10 ans, je suis persuadé qu'elle aurait aimé que j'en ai 10 de plus pour pouvoir me percevoir comme un homme, et non un garçon. Elle était très attachée à moi. De temps à autres, elle n’emmenait dans des bars d'hommes et me faisait fumer la cigarette, prétextant que j'étais son petit frère même si j'étais persuadé qu'elle aurait voulu que je sois son amant. Et puis un jour elle est partis pour Paris. Un contrat de mannequin l'appelait la bas. Elle est partis sans aucune hésitation, sans aucune larme mais déposa un baiser sur ma jour que je n'oublierais jamais. Elle m'a fait aimé les femmes plus que n'importe qui d'autres. Andie, tu aurais du me dire oui.



Salomée DiLaurentis.
J'avais 16 ans, et l'intéret que j'avais pour Salomée était celui d'un ado de 16 ans : le sexe. Je ne pensais qu'a ça et je la voulais elle. Pourquoi ? Car elle avait 18 ans, car c'était la plus jolie et parce que c'était ma voisine depuis bien longtemps. On s'était toujours connu mais jamais vraiment trop. Comme si on savait que créer une forte amitié risquerait de plomber toute chance de finir au pieu tout les deux. A l'époque, elle sortait avec mon pote Liam, un grand blondinet de 19 ans. Liam, c'était le mec qui me tirait vers le bas alors que je pensais qu'il me hissait vers le haut. Première cuite, premier joint, ça venait de Liam Corporation. Et c'est sans doute pour ça que j'avais un besoin fou de me taper sa copine. Il se croyait super cool, et il pensait qu'il était à lui même une usine à gens cools. Il se contentait de nous faire fumer un peu et de piquer du Jack Daniels dans l'épicerie du coin en se prenant pour un vrai caïd. Je l'aimais bien, mais pour être poli, il me faisait royalement chié. Salomée était la seule chose qui le rendait respectueux. Et d'ailleurs je n'ai jamais rien compris à leur histoire. Elle méritait mieux, elle le savait. La moitié des types l'aimaient bien, elle le savait. Je voulais son corps, elle le savait. Bref, j'avais tout préparé. Une soirée débile dans une maison de bourge et une trentaine de jeunes invités. La soirée se passait chez Liam, encore mieux. Je savais que Salomée était du genre à ne pas tenir l'alcool. Je suis presque sure que c'est comme ça que Liam l'avait eu. Alors qu'elle commençait à être un peu trop éméché, je la fit arréter pour que l'on puisse discuter et s'amuser un peu tout les deux. En véritable gentleman, oui, Andie m'a poussé au respect inconditionnel des femmes, j'attendis qu'elle soit un peu moins saoule pour enclencher le processus. Je l’embrassai. Et à croire qu'elle n'attendait que ça, il lui fallut pas moins de 5sec pour me chopper et me faire comprendre qu'elle voulait plus qu'un bisou. Bingooo ! Salomée savait comme on s'y prenait, elle avait certes plus d'expériences que moi, la mienne étant presque nulle. Ce fut une nuit extraordinaire contrairement aux idées reçues. Je pensais même avoir carrément assuré. Le lendemain, on s'est quitté en se faisant la bise, et le soir même je fumais une cigarette aux cotés de Liam, tandis que Salomée venait d'arriver en l'embrassant langoureusement.



Abby Jenkins.
La dernière en date sur laquelle il y a réellement quelque chose à dire. Et pour cause, nous nous sommes mariés. Plus belle erreur de ma vie. J'ai rencontré Abby au boulot, truc banal. Notre histoire était horriblement passionnelle au début. De toute manière, je suis comme ça, avec moi c'est fort ou ça tombe. Un soufflé n'est réussi que s'il est bien fait, sinon il retombe. Les premiers mois furent parfait. Visite très chaude au boulot, dîner en tête à tête, appartement cool et vie en appartement cool. Bref, c'était assez idyllique, et c'était la première fois que je trouvais une fille avec qui je voulais me caser. Et puis je ne sais absolument pas ce qui s'est passé, comment on en a pu arriver la. Mais j'avais réellement l'impression qu'elle n'étais plus la même. Et vous ne me direz certainement pas le contraire : c'est la chose la pire qui puisse arriver à un couple. Elle ne sortait plus, ne prenait plus le temps de prendre soin d'elle, elle s'habillait comme un sac alors que mon salaire lui permettait de s'habiller en à peu près ce qu'elle voulait. J'en avais fait une princesse qui était devenu en quelques mois, une véritable vieille dame. Je ne savais pas ce qui lui manquait. On était pourtant tout les deux pareils, à la recherche de piquant et de trucs complètement invraisemblable. Elle avait tout pour être heureuse mais moi aussi je ne l'étais pas. Elle en voulait toujours plus. J'ai vite compris qu'elle m'avait trompé lorsque j'ai vu sur ma note une augmentation mammaire et 10 000 dollars dépensés en fringue. C'était elle qui nous avait fait emménager ici et elle avait fait un aller retour New York qui avait duré 4 jours. Quelle femme pourrait changer en si peu de temps ? Une femme qui veut plaire à quelqu'un, sans aucun doute. Elle me trompait, je le savais. En quelques secondes, j'ai complètement changé. Tout ce respect que j'attribuais aux femmes, elle l'avait ruiné en 4 jours et une augmentation mammaire. Armé de mon verre de scotch, je pris le temps de penser à moi. Vraiment. Maintenant je voulais penser à moi. Sereinement j'ai fait ses valises, contacté mon avocat, déposé les papiers du divorces à coté de ses dernières et Tchao. Elle avait fait de moi quelqu'un d'heureux. Elle m'a transformé en quelqu'un de nouveau. Ce que je me suis forcé à bâtir pendant tant d'année et cette fascination pour les femmes venait presque d'éclater en morceau. Heureusement, je continue de penser que vous êtes magnifiques, c'est bien pour cela que j'abandonne le Scotch pour me consacrer maintenant entièrement à vous.

CocoDelight*


Je vais vous parler de moi, jusqu'au plus petit détail. Et puis quoi encore ? Mouahahaha. Je m'appel Manon, j'ai 19 ans, j'ai un bac +2 et je vais peut être continuer mes études . Sinon je RPGotte depuis pas mal de temps et j'aime toujours autant ça voila; Même si il y a certains trucs qui m'oripillent. M'enfin, je suis ravie d'avoir rejoint votre forum qui je pense, risque d'être remplis de surprise voila =)